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de salut, j’ay rencontré le miserable escueil, contre lequel s’est brisée la nef de mes esperances.

Vous obligez les miserables, vous exerçant au bien qu’ils ne vous peuvent rendre, pour faire reluire en la terre les graces que vous tenez du Ciel.

Il a perdu l’honneur, qui est le plus precieux heritage des pauvres.

Je m’asservois bien, sans dire une seule parole que mes miseres me faisoyent assez entendre au milieu de mon silence.