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et misere.

Il n’y a rien ici bas qui ne se change, et qui ne porte les carracteres, visibles ou invisibles, de ceste deesse errante.

Voyez malheur.

Fvir.

Ne fuyons point les choses, qui ne sont point en nostre puissance, mais seulement ce qui est naturellement contraire à ce qui est en nous.

C’est aux ames foibles et lasches de se plaindre de ce qu’on ne peut eviter.

La prevoyance du peril, fa-