Page:Marguerites françaises.djvu/225

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ce.

Voyez lettres, prier et souhaiter.

Flammes d’amovr.

Un mesme feu consommoit jadis nos cœurs, mais il n’y a eu que le mien, qui ait esté reduit en cendre.

Nos flammes guidées par la seule vertu se rendent immortelles du jour mesme de leur estre.

Les flammes que je reçoy de vos beaux yeux, ne sont nullement tributaires aux violables loix du changement, parce qu’un dessein