Page:Marguerites françaises.djvu/181

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Entendre.

Il est difficile de juger d’une chose, qui n’en a entendu la cause.

Il n’y a rien qui serve tant à la guerison du mal, que de bien entendre la cause.

Ils se faisoyent entendre sous des accens, aussi melodieusement funebres, que ceux là des chantres de Meandre.

C’est un traict de folie, de blasmer les choses que l’on n’entend point.

Ce sont ordinairement les ignorans qui condamnent