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mour.

Si la mort mesme outre laquelle ne s’estendent ni les menaces des loix, ni l’Empire de la fortune ne vous estonnent point, rien ne vous peuvent les envies de ceux qui ne sont que les organes des loix, ou que les malins de la fortune.

Je feray voir, en vous affectionnant, une amitié si devotieuse, que la constance sera redevable aux passionnez effets de ma perseverance.

Ma constance vous pourra monstrer aisément qu’elle a autant de courage à mourir