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ORAISON FUNÈBRE

leurs louables dicts & magnanimes gestes, mais quand nous suivons leur trace & que nous appliquons nostre esprit à vertu, de laquelle ils ont acquis toute louenge immortelle.

fin.

(Le premier chiffre se rapporte aux pages de l’édition originale,
le second aux pages de cette réimpression.)


Première institution des louenges pour les prouesses des hommes. 1-23.

Rémunération des vertueux gestes. 1-23.

La louenge des vertueux vivants a esté l’origine des louenges des trespassés. 1-24.

Les Athéniens. 2-24.

Les Grecs. 2-24.

L’usaige des Romains à la louenge des trespassés. 2-24.

Coustume des Indiens aux louenges funèbres. 2-24.

Coustume des Ægyptiens aux funérailles. 2-25.

Le Grand Prebstre des Ægyptiens. 3-25.

La cérimonie des Ægyptiens aux funérailles de leurs Roys. 3-25.

Contre les flatteurs des trespassés. 3-25.

Le profit des Oraisons funèbres. 4-26.

Ordonnance de la Loy des douze tables sur les funérailles des morts. 4-26.

Note, lecteur, que ceste Oraison fut faicte XV jours après la mort de la Royne de Navarre, pour la prononcer à Alençon. 4-26.

Marguerite de France, Royne de Navarre. 5-26.

Ordonnance de la Loy des douze tables. 5-26.

Confutation de ceuls qui disent les femmes ne devoir estre publiquement louées. 5-27.

Arrest du Sénat de Romme à la faveur des femmes. 6-27.

Crasse loua sa mère & Jules César sa femme après leur mort. 6-27.

Les bienfaicts de la Royne de Navarre vers S.-Marthe. 7-28.

L’obéissance des Alençonnois vers la Royne de Navarre, leur Duchesse. 8-29.

Euripide, de Noblesse. 8-29.