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de sa frayeur et de son émotion, elle répliqua subitement :
— Contre les Anglais !
— Ah ! s’exclama tranquillement le jeune Allemand, satisfait d’être renseigné.
Il ne s’étonnait point. Il interrogea simplement :
— Et pour quel motif ?… Ce n’est pas vous qui avez souhaité cette guerre ?
— Oh ! non, cria Henriette.
Devant le calme de « Cutiche », elle comprenait la sottise qu’elle venait de commettre. Comment s’en tirer, à présent ? Max continuait déjà :
— Pourquoi l’Angleterre, nation pacifique et presque votre alliée, a-t-elle voulu cette chose atroce ?