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1er § : fin de la page précédente

Max s’était fait étendre sur une chaise-longue, près de la fenêtre ouverte pour aspirer la vie nouvelle qui montait du jardin.

Tendant ses longues mains fuselées vers le rayon de soleil qui traversait d’une clarté rosâtre les phalanges visibles sous la peau décharnée, Max s’extasiait devant la douceur de l’éden comme il s’était extasié devant la jeunesse d’Ève.

Il savourait la joie de sa résurrection. Il parlait peu.