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sans avoir la prétention de ne jamais commettre d’erreur, je crois cependant que mes livres se portent assez, bien pour pouvoir se défendre eux-mêmes devant le public, leur vrai juge, en somme, et si j’ai cru devoir répondre ici à de semblables critiques., c’est afin de mettre en garde le lecteur au sujet du livre que je lui offre aujourd’hui et dont la matière est forcément difficile à circonscrire.

Ces pièces qui, pour la plupart, ne sont que d’un feuillet imprimé seulement au recto, représentent un des côtés les plus intéressants de cette époque, côté très-vivant, tapageur et bruyant (les oreilles ne vous tintent-elles pas encore de ces cris : Demandez le plan Trochu ! — La Conspiration des Jésuites contre la république ! — La Réponse au roi de Prusse ! — La Commune dévoilée ! — La Confession de Napoléon III ! — Laissez-moi mes matelas. — La Fille Mathilde, femme Demidoff ! — La