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VANNIQUES OU ARMÉNIAQUES


Publiée et traduite par M. Sayce, d’abord dans le Muséon (1886), puis dans le J. R. A. S. xx. 1888.

LX.

Ortanlu[1]. Neuf lignes. Copiée par Mgr Mezrop Sempadian. Envoyée à M. Sayce, après révision de la copie par Patkanoff. Publiée et traduite par M. Sayce dans le Muséon (1884, p. 222 et suiv.) d’abord, puis dans le J. R. A. S. n. Ser. vol. xx (1888).

LXI.

À Thaulidjân[2], dans le Schirac : 11 lignes assez bien conservées.

Découverte par un certain Nersès qui en envoya une copie à Mgr Sempadian. Celui-ci la fit parvenir à M. Sayce par l’entremise de Patkanoff.

Publiée et traduite par M. Sayce d’abord dans le Muséon (1884) et ensuite dans le J. R. A. S. (1888).

LXII.

Pierre trouvée à Asdouadzaschên dans une vallée au Nord de Khoschâb et transportée à Van, chez un marchand d’antiquités arménien nommé Dewganz. Sept lignes bien conservées.

Estampée par le Dr Polak, publiée et traduite par D. H. Muller, dans l’Académie impériale des sciences de Vienne, et dans les Oesterreichische Monatschriften für den Orient (Jan. 1885).

LXIII.

Ruines d’Armavir. Fragment de douze lignes.

Découverte et copiée par Mgr Mesrop Sempadian, publiée par lui dans l’Ararat (nov. 1881). Publiée de nouveau par Patkanoff dans le Muséon (1882). Publiée et traduite par M. Sayce, d’abord dans le Muséon (1883) et ensuite dans le J. R. A. S., n. Ser. xx (1888).

LXIV.

Au même endroit : fragment de sept lignes.

Découverte et copiée par Mgr Mesrop Sempadian ; publiée par lui dans l’Ararat (nov. 1881). Publiée de nouveau par Patkanoff dans le Muséon (1882). Publiée et traduite par M. Sayce, d’abord dans le Muséon (1883), et ensuite dans le J. R. A. S. n. Ser. xx (1888).

  1. M. Sayce ne nous dit pas où se trouve Ortanlu. Sur la carte de Kiepert je trouve un « Vartanlu » (variante orthographique d’Ortanlu), dans la vallée d’un affluent de gauche de la rivière de Bortchalu à l’E-N-E d’Alexandrapol.
  2. Je ne sais pas exactement où se trouve ce « Thaulidjân » ; le Schirac correspond à la vallée inférieure de l’Arpa-Tchaï. Je serais tenté de croire que ce prétendu Thaulidjân est une corruption de Ghanloudja = Marmaschên, sur l’Arpa-Tchaï, à une lieue environ au N-O d’Alexandrapol.