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Les romans de mœurs, les drames, les comédies ont exploité toutes les individualités perverses, odieuses, excentriques ou fatales qui peuvent jeter la perturbation dans les familles. Il restait peut-être une lacune, et ce livre, qui ne pouvait être ni une comédie, ni un drame, essaye de la remplir.

La plus rigide délicatesse a guidé la plume de l’auteur, au point de rendre énigmatique aux yeux du plus grand nombre le caractère du héros principal. On a mieux aimé pécher par trop d’obscurité que par trop de lu-