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aux périhélies de 1806 et de 1826, l’intervalle entre les deux passages étant de $7380^{\text{j}}{,}4881,$ on aura

${\begin{aligned}n\ =&{\frac {360^{\circ }\times 3-1^{\circ }.5'.4''{,}71}{7380{,}4881}}=8'.46''7943-0''{,}5291=8'.46''{,}2652\\n'=&8'.46''{,}2652+1''{,}5991=8'.47''{,}8643.\end{aligned}}$

Il est facile de conclure de ces résultats, que l’effet des perturbations pendant cette période a été tel, que la révolution moyenne $2460^{\text{j}}{,}1627$ qui y répond était trop petite de $2^{\text{j}}{,}4730,$ et trop grande de $4^{\text{j}}{,}9865,$ pour convenir respectivement aux périhélies de 1806 et de 1826. Ainsi, dans le calcul des observations, on doit employer pour 1806 une ellipse de $2462^{\text{j}}{,}6360,$ et pour 1826 une ellipse de $2455^{\text{j}}{,}1762.$

Dans la période actuelle, Jupiter s’approchera de la comète, en mai 1831, à $1{,}17,$ distance moyenne de la terre au soleil ; et son influence, qui durera un temps assez considérable, sera surtout remarquable par rapport aux nœuds de l’orbite. Le minimum de distance de la terre à la comète ayant lieu vers le périhélie de 1832, son action ne sera que très-peu sensible ; il en est de même à l’égard de Saturne, qui restera constamment à une grande distance de la comète. Le calcul des perturbations du moyen mouvement diurne et de l’anomalie moyenne a donné pour cette période :

Moy. mouv. diur.                                            Anom. moy.

$\mathbb {Z} \!^{\upsilon }$....$+5''{,}5745$

$+1^{\circ }.28'.50''{,}94$

♁ ....$\,+0\ {,}0332$

$-0\ \ .\;0\ .34\ \ {,}69$

Ϧ ....$\,-0\ {,}0311$

$-0\ \ .\;3\ .14\ \ {,}83$

–––––––––––                           –––––––––––––––

                      $\,+5''{,}5766$

$+1^{\circ }.25'.\ 1''{,}42$

Au moyen de ces résultats, on trouve ensuite, en nom-