« Quels nouveaux ennuis !
» Comment ! te voilà victime du gouvernement de Monaco, parce que tu es expulsée de France, et tu peux séjourner à Nice ? J’espère que cela est arrangé, et que cette persécution est arrêtée, et que l’on te laissera tranquille, puisque l’on a été poli pour toi à Paris.
» J’ai tes lettres du 5 et du 6. Elles me font plaisir. Enfin on te laisse un peu tranquille, et tu retournes dans ta maison de Monte-Carlo. C’est heureux, tes nouvelles m’arrivent en vingt-quatre heures : cela augmente le désir que j’ai de t’embrasser. Je ne puis encore bien fixer où et quand : probablement sur la côte et bientôt… As-tu lu les articles du Figaro sur toi, qui parlent de tes persécutions et de tes connaissances ?
» Jusqu’à quand as-tu ta campagne ? As-tu des projets arrêtés ? Sais-tu s’il y a sur la côte,