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Pausole, très ému, regarda sa fille. Longtemps, il resta silencieux, comme si une lutte profonde et presque pénible se livrait sous sa poitrine entre les divers conseils de son affection paternelle. Puis il dit un peu tristement :

Eh bien, nous verrons, mon enfant. Je t’aime assez pour te rendre plus heureuse que moi.