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doute, il n’aurait pas encore cent ans et la jeune génération lui confirmerait que je ne plaisantais pas sur l’immortalité de son réquisitoire.



Le premier renseignement que je reçus, à l’instruction fut imprimé cinquante et un jours après l’ouverture de l’enquête :


On a vu M. Pinard, au Palais, à Paris il y a quelques années… Sait-on où il s’est retiré !

C’était vague. Un rapport si bref et si tardif prouve tout au moins que je poursuivrais Pinard sans importuner la Police ni la Sûreté Générale, ni les pouvoirs