Page:Loti - Les Trois Dames de la Kasbah, 1884.djvu/81

Cette page a été validée par deux contributeurs.

à jour se dressant dans la plaine, sur le fond terne et mélancolique du ciel breton… Une lueur lui revenait de sa claire intelligence. Il avait honte, il ne voulait plus être ivre, et il passait ses mains sur son front, comme pour enlever de devant ses yeux le voile pesant de l’alcool.