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alors j’offre l’autre joue. La sirène meugle. Les non-voyageurs descendent. Derniers cris. L’Itabera s’enfonce dans la nuit amazonienne.

On vogue. On vogue. Le 9 juillet, c’est Sao Luiz de Maranhâo. Le 11, Fortaleza. Le 12, Aera Branca. Le 13 au soir, une féerie : Pernambuco ! Toute la journée, l’agent 29 a fourbi, astiqué, ciré. Il est prêt, ganté de blanc, revolver au côté, visière sur les yeux. Il attend de pied ferme ceux de Pernambuco. Il sautera à la gorge du premier policier qui osera m’appréhender.

Nous mouillons.

Une vedette aborde., Elle porte trente investigadores de Pernambuco. Ils prennent le bateau d’assaut. Aucun doute : ils vont m’enlever. L’agent 29 se met devant moi. M. Luiz va à la rencontre de la troupe. Je reconnais dans le nombre l’un de ceux venus à Belem pour m’arrêter. L’agent 29 me fait de