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de Dovrdan.

Le Duc de Guyſe.

L’aduantage que i’ay en mon entrepriſe de releuer l’honneur de Dourdan eſt que i’y ſuis fauoriſé par tous ceux qui l’ont poſſedé, leſquels l’ont chery comme à l’enuy & en ont voulu donner des teſmoignages certains : en quoy Monſieur de Guyſe ne voulut manquer de ſa part : Il ne l’eut pas pluſtoſt recogneu qu’il le feit gardien des choſes qui luy eſtoient les plus cheres, y eſtabliſſant ſon eſcurie, à cauſe de laquelle il y eſtoit touſiours preſumé demeurer, puis que les Princes guerriers (comme il eſtoit) n’ont point de treſor plus precieux que leurs cheuaux, ny d’entretien plus charmant que ce-

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