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PRÉFACE

les contes dont j’ai retrouvé le texte arabe. Ces contes, qui remplissent environ trois volumes de la continuation de M. Cazotte, resserrés dans les bornes que l’auteur arabe leur a donnés, occupent le huitième volume de cette édition, et le quart environ du neuvième.

En plaçant ici ces contes, je ne veux pas faire croire qu’ils font réellement partie des Mille et une Nuits : je déclare au contraire qu’ils ne se trouvent dans aucun des manuscrits de cet ouvrage que je connois ; et que dans le manuscrit sur lequel je les ai traduits, ils ne sont pas annoncés comme appartenant à ce fameux recueil. J’aurois donc pu, en me proposant de continuer l’ou-