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AVERTISSEMENT[1].



Les lecteurs des deux premiers volumes de ces contes, ont été fatigués de l’interruption que Dinarzade apportoit à leur lecture. On a remédié à ce défaut dans les volumes qui ont suivi. On ne doute pas qu’ils ne soient encore plus satisfaits de celui-ci, où ils ne seront plus arrêtés par les autres interruptions à chaque nuit. Il suffit qu’ils soient instruits du

  1. Cet avertissement de M. Galland est imprimé en tête du septième tome de la première édition, immédiatement avant l’histoire de Noureddin, qui, dans cette nouvelle édition, fait partie de ce volume.