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« Je ne veux qu’un luminaire ;
» Tous les vits sont mes autels :
» Que les fouteurs de la terre
» M’élèvent un monument,
» Et que la Nature entière
» Bande à mon enterrement.

» Qu’un mausolée à ma gloire
» Soit élevé par les vits ;
» Qu’on y lise à ma mémoire,
» Ces mots par le foutre écrits :
» Sous cette masse de pierre,
» Repose un vieux con pourri :
»Passant, dis-lui ta prière,
En te polluant le vi ».


Les Fouteries chantantes, 1791 - Fleuron - Rayons