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Pour un doigt de ma main belle ;
Laissait-là le vit ;
De sa brûlante matrice,
Que dite à cela ?
Je chatouillais l’orifice ;
Encor celui-là.

Dans le con d’une Princesse,
Valant un fouteur,
J’ai su prouver mon adresse,
Aussi ma vigueur ;
Et dans son tendre délire,
Que dire à cela ?
Je décharge, et je soupire ;
Encor celui-là.

Du vit de la Valetaille,
Souvent j’ai fait choix,
Et des pines de Versaille,
J’ai reçu les loix :
Si j’ai passé pour fouteuse,
Que dire à cela ?
Qu’une garce est très-heureuse
Encor celui-là.

En parfaite libertine,
Laissant le plumet,

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