Page:Leprohon - Armand Durand ou la promesse accomplie, trad Genand, 1869.djvu/127

Cette page a été validée par deux contributeurs.
125

selle de Beauvoir, en sorte qu’il revint de chez M. de Courval enchanté de son début dans la vie du grand monde. Les timides avances qu’il fut forcé de faire à quelques-unes des dames présentes avaient été reçues très-gracieusement car quoiqu’il n’eût point chanté, ni dansé, ni flirté, il s’était attiré de tous côtés, par son apparence et ses manières recherchées, des sourires et des regards tout-à-fait favorables.