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tude de la vie de campagne qu’il n’abandonna plus jamais.

La petite Antoinette fut heureuse en trouvant un guide aussi bienveillant et aussi sûr pour remplacer auprès d’elle la tendre mère que si jeune elle avait perdue, et malgré l’excessive indulgence de son père ainsi que l’étourderie naturelle de ses propres dispositions, elle devint une jeune personne aimable et charmante ; sinon parfaite.