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Et quand Dolf se retourne, le vieux batelier le serre dans ses bras et lui dit :
— Mon cher fils, je vous aime comme si vous étiez né de moi.
Et les autres lui serrent les mains de toutes leurs forces en lui disant :
— Dolf, nous ne mourrons pas sans avoir connu un vrai cœur de garçon.
— Et moi, camarades, fait Dolf en riant, je ne mourrai pas sans avoir bu encore avec vous plus d’une pinte à la santé du gros fiston que Riekje m’a donné l’autre nuit.