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de lii perfBclion de l’itulpur des choses. Au resle si Hons. des Ciirt«s nvoil donn^ moins a ses hypotheses iinaglDaires et s’ii s’estoil all«che d’üvunlage aux experJences , je uroy que sa PhysJque auroit cste dignc d’estre äuivie. Car il faul uvouer qu’il uvoit uoe grande penelration. Pour sa Geoinelrie et Analyse, il s’en Taut beaucoup qu’eÜe soll aussi parfailc que le pretendent ceux qui ne se sont niis qu’ä chercber des pelils probleines. II y a plusieurs erreurs dans sa Metaphysique, el il n’a p»s connu la verilable source des veril6s ny celte anaiyse generale des Dolions que Jiinjiius um)e l’aDticharobre de la verilable.

Philipp an Leibniz.

Ilaiubour^ ce 3" Dec. 1679. Je VDU5 suis fori oblii;e de la boaee iDstruclion que vous m’avei donnce touchant les priucipes de ta philosophie de des Carl es; ä celte beurc je vous pne d’avoir la boote de nie dir« vostre Jugenienl d’un Hvre qui s’nppelle la Recherche de la veriti*.

Leibniz an Philipp.

Hambours ce 31* Dec. 1679. H’ Rabel. un grand Carlesien, est icy avec U’ le Marcchal de Ci>nif;src, son mailre.

Philipp an Leibniz.

llamlwurg ce 7’ Janv. 1680.

J’ay monlr^ ud exlrail de voslre lettre, oü vous parlez de H’ des Carlps, ä tt’ Rabel, sans vous nommer, qui eu a est^ fort ^pouvanle. et desirc stavoir les vmiroits, oü M’ des Carles di( positivomenl ces deux propositions que vous alleguez: il croil presque aussy fort aux preceples el aux senlimens de M’ des Cartes qu’ä la parole de Dieu, quoyqu’il soll conlraiat d’avouer, que dans sa Geometrie il y ail des paralogismes.