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532 Qinlcitung.

encor mieux passer sa vie à s’humilier en cultivant des choux, qu’à risquer de s*enfler en estudiant. Je me souviens d’une lettre que Mons. l’Abbé de la Trappe m’écrivoit sur ce subiect, il y a assés longtems, et que i’ai monstre à Dom Mabillon. Il y auroit bien de la peine, me dit il, à me faire changer de sentiment sur le chapitre des études ; il y auroit eu neanmoins quelques mesures à garder, et si on l’auroit fait, on auroit pu s’accorder. Mons. Bayle, dont ie viens de recevoir une lettre de Hollande, me parle de deux livres assés curieux, Pun est de Mons. Dodirel sur les auteurs de l’Histoire Auguste, et l’autre d’un Professeur de Hambourg nommé Mayer sur le libre de tribus impostoribus, qu’il asseure n’eslre point un livre imaginé, et qu’il y en a un tel dans le monde. Je ne vous ay point dit, monsieur, touchant la replique de Dom Mabillon, que les Benedictins avoient voulu donner des mémoires à un de nos amis et des vostres, pour travailler contre la *réponse de Mons. l’Abbé de la Trappe, comme ils luy en donc desia donné pour un autre ouvrage, mais qu’il s’en est excusé.le vous demande, monsieur, la continuation de vostre pretieuse amitié et de vos excellentes lettres, qui seront un grand préservatif à mes maux. Je suis, monsieur, avec tout l’estime et le respect possible et du meilleur de mon cœur tout à Vous etc.¢ /*fx ~¢ 1.«^.’./Iv !, *.r ›//«f-.›-