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III.

Oh ! ne m’aime jamais, ne connais pas l’Amour !
Quoi ! tu pourrais transir et brûler tour-à-tour,
D’un rêve sans relâche occuper ta pensée,
Tremper de pleurs et mordre une couche insensée,
Te lever, t’agiter, t’indigner de souffrir,
Souffrir… et craindre encor le bonheur de mourir !