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VII.

Cet athlète hardi qui voulut fendre un chêne,
N’avait pas su prévoir que ses doubles éclats,
En resserrant leurs nœuds, enfermeraient ses bras ;
II roidit sa vigueur sur le tronc qui l’enchaîne,
Et, promenant partout des regards éperdus,
II s’épuise de cris, au fond des bois perdus ;
Ce fut un sort affreux de livrer ses entrailles
Aux tigres dont son bras fut tant de fois vainqueur ;
Mais que dût éprouver le Géant des batailles,
Bonaparte captif rongeant son propre cœur !