Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/121

Cette page n’a pas encore été corrigée


IV.

L’Océan refusa d’être son tributaire :.
Il l’assiégeait partout, il dépeuplait ses bords,
Et bientôt de l’Asie envahissant les ports,
II eut fermé le monde aux fers de l’Angleterre :
Et le voilà, ce prince ! au sommet d’un rocher,
Les fers, qu’il voulait rompre, ont été l’attacher ;
Vaincu par les frimats, le soleil le dévore ;
Mais du tropique en feu l’incurable poison,
En usant de ses jours le flambeau jeune encore,
D’une splendeur plus vive a rallumé son nom.