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ARMELLE ET CLAUDE

templèrent les choses environnantes. Comme elles étaient proches !

Docilement ils suivirent l’évolution de la nature. Apaisée, elle les apaisa. L’heure vint où elle s’épanche sous les voiles légers de l’ombre, et sa tendresse les attendrit.

Claude, plus faible cette fois, posa sa tête sur l’épaule d’Armelle. Autour de lui elle croisa ses bras. Ils rêvèrent longtemps encore, des rêves simples, confus, pleins de quiétude et de sérénité.