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j’étais debout entre ses jambes. Elle devint bientôt folle d’excitement, son derrière se levant et s’abaissant comme si elle n’avait fait que ça toute sa vie ; la nature prenait ses droits et la guidait mieux que tout. La combinaison nouvelle de la pine et du doigt amena rapidement la crise finale.

Moi aussi, j’étais fou de luxure, aussi nous déchargeâmes en même temps, en éprouvant des ravissements qui nous anéantirent tous deux entièrement. Nous restâmes quelque temps à savourer la langueur qui suit de pareilles voluptés. Ma chère Jane me demanda de lui donner un peu d’eau, car elle sentait qu’elle allait s’évanouir. Je me retirai, bandant encore énormément, je pris un peu d’eau, l’aidai à s’asseoir sur le sofa et l’embrassai amoureusement, la remerciant pour les exquises jouissances qu’elle m’avait procurées. Elle jeta ses bras autour de mon cou et, les larmes aux yeux, me dit qu’elle m’aimerait toujours, que je devais toujours l’aimer, car maintenant elle ne pourrait plus vivre sans moi. Je séchai ses larmes sous mes baisers et lui dis qu’à l’avenir elle jouira encore davantage quand elle y sera mieux habituée.

— Laissez-moi voir la chère affaire qui m’a donné tant de plaisir.

Je la sortis de mon pantalon, mais comme elle ne bandait pas, Jane fut très surprise. Je lui expliquai la nécessité pour laquelle ça devait être ainsi, mais qu’elle la verrait rapidement se redresser et revenir au même état de raideur qu’auparavant si