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n’avait accepté que parce qu’elle serait toujours, ainsi près de moi. Nous passâmes une quinzaine, délicieuse qui ne nous parut pas plus longue qu’un jour.

Je trouvai une occasion de foutre mon ancienne gouvernante, qui était miss Vincent. Mon fils était un joli petit gars qui commençait déjà à marcher et à parler. Sa mère m’aimait toujours autant et, était devenue une fort belle femme, plus amoureuse et plus lascive qu’auparavant.

Elle me dit qu’il n’y avait d’aussi bon et d’aussi aimant que son mari, à qui elle n’avait jamais fait une infidélité, si ce n’est avec moi qu’elle aimerait toujours, qu’elle ne me refuserait jamais rien de ce qui pourrait être fait en toute sûreté. Pendant cette seule occasion que j’eus de la foutre, je lui déchargeai trois fois dans le con sans déconner et je l’enculai ensuite pour finir. Je puis ici ajouter qu’une petite fille vint au monde neuf mois après ce jour, et la mère fut persuadée qu’elle était de moi.

Ma mère, mes sœurs et miss Frankland vinrent toutes m’accompagner jusqu’à Londres. Le mariage se fit avec beaucoup d’éclat. Mon tuteur fit de très riches cadeaux à mes sœurs et me donna une chaîne et une montre en or, accompagnées d’un fort chèque pour les dépenses de mon voyage. Lui et sa fiancée, que je foutis juste un peu avant son départ pour l’église, allèrent passer leur lune de miel en Écosse et revinrent par les lacs anglais.

Quelques jours après, ayant passé deux ou trois