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manière à ce que je puisse avoir le plaisir de regarder ce magnifique derrière et caresser les immenses rondeurs de vos fesses.

— Oh ! c’était un coup d’œil délicieux de voir ces deux femmes voluptueuses se livrer toutes deux aux délices du gamahuchage. Cette vue nous enflamma tous et aussitôt qu’elles eurent fini, j’éteignis le feu qui me brûlait en me précipitant dans le vaste mais étroit con de ma tante, pendant que mon oncle l’enculait. Madame Dale était étendue sous Ellen, qui était foutue par derrière par Henry et gamahuchait sa tante qui guidait elle-même la pine de son propre fils dans le con d’Ellen, branlant son clitoris et en même temps donnant à son fils le postillon dans le trou du cul.

Oh ! ce fut un coup splendide ! Nous étions tous très excités et c’était aussi la première fois où nous nous trouvions tous réunis dans la même orgie. Nous tombâmes tous anéantis dans une extase de volupté. Nos travaux de la nuit ne nous permettaient pas de recommencer, et nous nous séparâmes pour prendre un peu de repos avant le déjeuner.

Madame Dale resta au presbytère pendant trois jours, durant lesquels on se réunissait tous ensemble dans la chambre du pasteur pour renouveler nos orgies. Madame Dale emmena son fils et sa nièce et je promis d’aller la voir le samedi suivant ; ce jour-là, Henry et moi nous prîmes à tour de rôle chacune de ces chères créatures, quelque-