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avec le dernier jusqu’à ce qu’il fut tout à fait vidé.

La même dame, me raconta qu’une fois, pendant qu’ils étaient à Dieppe, son mari retourna en Angleterre pour quelques jours. Pendant son absence, elle soupait toutes les nuits avec quatre jeunes gens et se faisait foutre par eux sur des coussins par terre, se faisant en même temps enculer par un. Pendant le jour, son propriétaire, un homme marié, avait l’habitude de venir la foutre aussi. Une fois elle resta seule à Manstheim, où elle fit la connaissance d’un officier qui lui en présenta un second, puis un troisième ; enfin, elle en connut huit. Elle les invita tous un jour à souper et ils la foutirent chacun trois fois. C’était une splendide femme et qui aurait pu foutre sans jamais s’arrêter. Son père l’avait initiée à l’âge de douze ans. Elle était d’origine grecque, et dans son pays, les filles de cet âge sont formées et réglées. Les femmes sont généralement putains au fond du cœur, et nombreuses sont celles qui ne sont pas embarrassées pour se satisfaire.

Pendant l’opération d’Henry avec sa mère, le pasteur se tint à côté d’eux, pelotant les couilles d’Henry et lui donnant le postillon ; maman jouit énormément. Cette vue avait enflammé le pasteur à nouveau, l’idée de l’inceste l’excitait au plus haut point. Aussitôt qu’Henry déconna, il pria Mme Dale de se mettre sur les mains et les genoux afin de le lui mettre par derrière. Il aurait bien voulu le lui mettre dans le derrière, mais