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rière le pasteur, lui chatouillant gentiment les couilles et lui donnant le postillon dans le trou du cul. Ils tirèrent un coup splendide et tombèrent anéantis dans de mutuelles délices. Le pasteur ne se fut pas plutôt retiré que je sautai à sa place et engloutis ma pine jusqu’aux couilles dans ce con inondé de foutre. Maman se récria faiblement, mais le pasteur la supplia de lui laisser le plaisir d’être témoin de la vigueur du jeune homme. Je savais qu’au fond du cœur maman était enchantée, parce que toutes les femmes aiment spécialement se sentir enfilées par une nouvelle pine juste au moment où une autre se retire après les avoir foutues. »

Ceci est la vérité ; voyez par exemple ma chère madame Benson dans mes commencements ; son plus grand plaisir était de me posséder au moment où monsieur Benson venait de la foutre, et elle avouait que rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Je connus par la suite une dame que nous possédions, moi et trois autres hommes, et aussitôt que l’un était dehors, l’autre était dedans et quelquefois deux en même temps. Elle nous racontait de la manière dont elle trompait son mari. Une fois, à Florence, elle prit huit fouteurs et elle les posséda tous la même nuit sans qu’ils s’aperçussent l’un ou l’autre de leur présence. Voici comment elle s’y prit :

Elle les fit venir deux à dix heures, deux à dix heures et demie, deux à onze heures et deux à onze heures et demie. Elle les fit entrer tous dans