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j’étais en train de la foutre), aussi elle était toute prête et bien en chaleur.

« Elle m’attira sur son sein, rejeta les couvertures, et croisa ses magnifiques cuisses sur mes reins ; ses deux mains pressaient mes fesses pour me faire entrer plus avant, et nous tirâmes un coup délicieux. Je feignis d’être encore plus excité que je ne l’étais vraiment, et je me mis presque à braire comme un âne au moment de l’éjaculation ; maman elle-même était trop anéantie pour faire attention à mes cris. Elle était insensible, pressant intérieurement ma pine palpitante ; ses yeux étaient fermés, aussi elle ne remarqua pas la lumière que le pasteur tenait à la main en entrant. Ce ne fut que lorsqu’il fut arrivé tout près du lit et poussa une exclamation de surprise, qu’elle s’aperçut de sa présence.

« Elle poussa un cri étouffé et se couvrit les yeux avec la main. Je me levai de dessus elle ; le pasteur, avec une grande politesse, lui demanda pardon de son intrusion, mais ayant entendu un bruit inaccoutumé, il avait craint qu’elle ne fût malade.

« Alors maman se mit à pleurer, la ressource habituelle des femmes. Le pasteur la pria le plus affectueusement du monde de se calmer.

« — Ma chère madame, dit-il, je ne vous blâme nullement de cela. Je suis un homme du monde et je sais que l’inceste est pratiqué beaucoup plus que l’on ne se l’imagine, et pour vous prouver que