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cher d’entrer elle-même en mouvement avec toutes les forces de ses passions et nous tirâmes un coup très rapide qui se termina par les plus ineffables délices et nous restâmes anéantis tous deux dans la joie de notre jouissance satisfaite.

« Je sentais par les pressions intérieures qu’elle faisait sur ma pine, que sa lubricité n’était pas éteinte, ce qui me donna une nouvelle vigueur. Après avoir feint de la résistance, ma chère maman passa sa main par derrière et, la plaçant sur mes fesses, m’aida en poussant pour que je pénètre plus avant. Nous restâmes plus longtemps à tirer ce nouveau coup et nous en eûmes plus de plaisir. Après le repos forcé qui suit toute jouissance, elle se tourna vers moi, m’embrassa tendrement et dit :

« — Oh ! mon cher enfant, c’est bien mal, mais c’est bien bon. Tu dois être discret, mon cher Henry, car si on le savait, nous serions déshonorés pour toujours.

« — Ma chère maman, n’aie pas peur ; t’es-tu aperçue de la moindre indiscrétion au sujet de ce que je t’ai raconté depuis six semaines, quoique je te désirasse par-dessus tout ? Oh ! embrasse-moi, ma maman bien-aimée.

« Nous nous donnâmes les plus doux baisers, nos langues se rencontrèrent, ses mains me caressaient de partout : elle rencontra ma pine déjà toute raide.

« — Mon chéri, il faut que je l’embrasse, elle est bien plus grosse que je l’aurais cru, et aussi dure que du fer.