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— Henry ! à quoi penses-tu de m’étreindre de cette manière ! Ne savez-vous pas, monsieur, que je suis votre mère ?

Il avait saisi d’une main un de ses magnifiques seins, et il était vraiment dans un excitement extrême, ainsi qu’elle pouvait s’en apercevoir par la raideur de sa pine qui frémissait entre ses poils,

— Ma maman bien-aimée, si tu savais combien je t’aime et combien j’ai désiré d’embrasser ton joli corps.

— Finissez, impudent enfant, savez-vous que c’est un péché horrible de vouloir posséder sa mère. Quittez-moi tout de suite.

— Oh ! non, maman, je ne puis vraiment pas, il faut absolument que je possède ma propre mère ; quel mal cela peut-il faire que je rentre d’où je suis sorti !

H transporta alors sa main de son téton à son magnifique mont de Vénus, et montra par là ce que ses paroles voulaient dire. Elle fit semblant d’être très fâchée et essaya de l’éloigner, mais il la tenait trop bien serrée, ayant son bras passé autour de sa taille.

— Lâche-moi de suite ou je crie !

Elle paraissait vraiment furieuse, cependant elle ne poussa pas un seul soupir pendant et après le colloque. Henry fit alors valoir son meilleur argument.

— Pourquoi essaies-tu de me repousser ainsi, chère maman ? Pourquoi ne me laisses-tu pas jouir de toi comme tu le permets à Charles ?