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Maintenant que je suis vieux, elle est la consolation de ma vie et la mère de mon joli fils, que nous avons appelé Charles Nixon, en mémoire de ma femme adorée et de mon tuteur, desquels il héritera d’une grosse fortune. Le cher enfant a maintenant dix-huit ans, beau, bien bâti, très bien monté, mais cependant pas aussi monstrueusement que son père. Sa chère mère l’a initiée à toutes les jouissances et il a tout le feu sensuel que son père avait avant lui.

Il vient souvent nous rejoindre pendant la nuit, c’est le seul moyen qui me permet de bander de temps en temps et de foutre sa mère ; car de les voir dans les agonies de la luxure, foutant furieusement devant mes yeux ravis, cela m’excite encore de temps en temps, car, hélas ! c’est maintenant un plaisir qui m’arrive bien rarement.

Mais de sucer et lécher son jeune foutre après l’excitement de leur combat amoureux produit une raideur suffisante pour permettre à ma femme de monter dessus pendant que notre fils lui enfonce sa pine dans le trou du cul, car cela est aussi nécessaire pour me donner de la vigueur par le contact de sa pine jeune et vigoureuse à travers la fine membrane, si légère qu’on dirait que rien ne nous sépare. Je suis très long à décharger, et sa mère ravie reçoit quelquefois deux, et souvent trois décharges dans son cul avant que ma pine paresseuse fasse couler dans son con mon foutre incestueux.

Nous formons une heureuse famille, unis par les