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avions donné le nom de ma femme adorée en l’italianisant, nous donnait beaucoup de plaisir. Toute enfant, elle venait toujours nous caresser dans le lit avant notre lever.

Elle était si merveilleusement bien faite, que nous avions l’habitude de la mettre entièrement nue et de l’embrasser sur tout le corps, ce qui procurait toujours à ma femme une fouterie supplémentaire, spécialement quand la petite eut atteint sa dixième année, moment où ses formes commencèrent à se développer rapidement.

Ayant depuis l’enfance la familière habitude de se trouver nue devant nous, elle n’avait aucune honte ; elle devint réellement si excitante que je bandais de suite et foutis souvent ma chère femme en sa présence. Elle aimait à nous voir foutre, jouant avec ma grosse pine, la faisant bander et éclater.

Cela finit comme c’était sûr que ça finirait, en jouant petit à petit avec elle, d’un excitement à un autre, j’en arrivai à la foutre complètement quand elle eut atteint l’âge de treize ans.

Dix ans après cette époque, je perdis ma femme adorée, et je n’aurais jamais pu me consoler de cette perte, sans les consolations que me prodigua cette chère enfant qui devint si nécessaire à mon existence que, douze mois après la mort de ma femme, je me mariai avec elle. C’était une véritable beauté italienne, et personne ne sut jamais qu’elle était autre chose qu’une orpheline adoptée par ma femme.