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bien réussi. De temps en temps elle reprenait courage en ayant quelques entrevues avec son bien-aimé Henry ; de plus, elle satisfaisait la luxure du père et des fils de la famille où elle vivait, débauchant et prenant les pucelages de plusieurs jeunes gens, mais aucun ne lui donnant l’exquise sensation que lui avait fait éprouver son cher Henry, jusqu’au moment où elle eut, dit-elle pour me flatter, la bonne fortune d’entrer dans ma famille et de trouver un joyau pareil à celui que je possédais.

Occasionnellement elle avait trouvé des jeunes filles d’un tempérament tellement ardent qu’elle leur avait enseigné l’art du gamahuchage. Ce fut en remplissant les devoirs d’institutrice qu’elle s’était servie pour la première fois des verges sur les derrières de ses élèves et c’est en voyant les effets érotiques produits sur ces derrières fouettés, qu’elle eut elle-même aussi envie d’être fouettée. Elle eut ensuite une grande quantité de jeunes gens, jeunes filles, pères de famille et de vieux messieurs épuisés, qu’elle s’amusait à fouetter.

D’une famille à une autre elle arriva enfin à la nôtre, et j’ai raconté toutes ses actions depuis son entrée à la maison.

Le fils du comte ainsi que sa famille arrivaient à l’âge de la puberté. Nous surveillions leurs progrès avec un grand intérêt. Ils furent tous deux initiés aux mystères de l’amour par leurs parents respectifs.

Ma charmante petite Florentia, car nous lui