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une immense masse de poils qui couvraient tout le bas de son ventre. Guidant ma pine à l’entrée de son con, elle engloutit graduellement le petit objet en laissant tomber son corps dessus. Je sentis au commencement une peine assez aiguë et ma pine se ramollit à moitié, mais regagna rapidement sa première raideur par le plaisir qu’elle me procura par ses mouvements de va-et-vient. Je jouis comme précédemment dans un paroxysme de jouissances célestes ; elle aussi déchargea, car je sentis parfaitement un flot de chaud liquide inonder ma pine. Elle me tint étroitement pressé où j’étais, et par les pressions de son con, me rendit rapidement toute ma raideur et il s’ensuivit une seconde jouissance.

« À ce moment, je perdis tout à fait connaissance. Après avoir repris mes sens, je m’aperçus en me relevant que ma pine et mes couilles étaient mouillées et couvertes de sang ; je me mis à pleurer, car la vue du sang m’effrayait beaucoup étant enfant ; elle m’essuya complètement et décalotta la tête de ma pine pour essuyer sous la peau ; mais ce mouvement me fit mal et un jet de sang sortit en même temps. Elle fit son possible pour me retenir pendant qu’elle allait chercher de l’eau chaude, qui devait, disait-elle, tout remettre en état ; mais j’étais trop effrayé et je me sauvai à la maison en pleurant tout le long du chemin, et, comme un garçon stupide et ignorant, je cherchai ma mère et lui raconta tout ce que la sœur Bridget m’avait fait, lui montrant en même temps combien