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étaient de deux ou trois ans plus jeunes que moi. J’étais tout ce qu’il y a de plus ignorant des relations pouvant exister entre personnes de sexe différent. La nonne paraissait avoir pour moi une grande préférence, elle m’étreignait dans ses bras, m’embrassait avec ses grosses lèvres sensuelles, et il me semblait qu’elle me suçait ma respiration. Elle me faisait tenir debout tout près d’elle en me faisant réciter mes leçons ; son bras ou son coude, accidentellement en apparence, était toujours pressé contre l’endroit où se trouvait ma pine, tout à fait insensible dans les commencements. Sans savoir comment cela se faisait, ces sortes de pressions accidentelles finirent à la longue par l’exciter et la faire raidir, ce qu’elle fut sans doute enchantée de remarquer, car c’était assurément ce qu’elle attendait. Voyant qu’elle pouvait maintenant m’exciter au point qu’elle désirait, elle s’écria un jour à Haute voix : « — Fernandino, tu resteras pour répéter ta leçon après la fin de la classe. Tu as besoin d’un supplément d’instruction que je ne puis te donner pendant que je suis occupée avec toute la classe. » Je pensais que c’était une bonté de sa part, mais son projet était tout différent. Quand tout le monde fut parti et que nous fûmes seuls, elle me fit venir plus près, son coude joua le jeu habituel, ma pine banda, elle pressa davantage dessus, ce qui la fit s’écrier : « — Mon Dieu ! qu’est-ce que tu as de dur dans ton pantalon ? Laisse-moi voir. » Elle me déboutonna, enfonça sa douce main et sortit ma pine. « — Comme