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que nous passâmes avec notre cher et bien-aimé hôte.

Son vieux château tombait un peu en ruines, mais était encore fort habitable. Cependant son père avait fait bâtir une maison à la base du rocher.

Le château couronnait une masse de rochers absolument à pic, d’où s’échappait un torrent ; l’accès du château en était très difficile et ne pouvait se faire que par des sentiers tortueux et en fort mauvais état. Il faut dire qu’il y avait dans le jardin une entrée secrète qui conduisait par un escalier intérieur au sommet de la montagne. Mais j’aurai à parler plus longuement de cet escalier en racontant l’histoire du comte qu’il nous confessa pendant notre visite.

Nous fûmes reçus avec une grande cordialité par notre ami, qui nous mena lui-même à nos chambres ; il en profita pour vider sa copieuse liqueur dans le con délicieux de ma chère femme, qui, on se rappelle, avait un grand penchant pour le comte, qu’elle préférait à tout autre pendant nos orgies à Londres.

Quand le comte eut déconné, je plongeai ma pine enflammée dans le bain de foutre qu’il avait préparé dans le con de ma femme, la foutant avec fureur dès que je fus entré, changement qu’elle aimait par-dessus tout ; ceci nous calma pour le moment et nous permit d’attendre la nuit.

Nous comptions trouver chez le comte sa jeune sœur, mais pendant notre orgie de la nuit il nous