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— Oh ! faites ce que vous voudrez avec moi, aussi longtemps que votre adorable femme me permettra de la posséder.

— Eh bien ! répondis-je, vois, son con est encore plein de ton foutre, je vais y baigner ma pine, afin qu’elle entre plus facilement dans ton cul.

Nous prîmes tous la position à genoux ; il s’engloutit dans le con ravi de ma femme et présenta à ma folle luxure son cul véritablement superbe. J’entrai d’abord doucement, mais une fois que la tête fut entrée, je poussai furieusement en avant, un peu trop brutalement peut-être, car il se retira et m’aurait échappé s’il n’avait pas été doublement emprisonné. Une fois complètement englouti, je restai immobile, ce qui calma l’étrange sensation qu’il éprouvait, et nous activâmes petit à petit nos mouvements, jusqu’au moment où nous mourûmes tous deux de plaisir, lui surtout, car c’était sa première expérience de la double jouissance, et il éprouva une telle jouissance, qu’il me demanda de ne pas déculer et de tirer un deuxième coup.

Ma chère femme, pensant que cela augmenterait sa jouissance si elle changeait sa pine de son con dans son petit orifice, la fit déconner et la plaça dans la grotte sacrée réservée aux rites de Priape.

Cette fois-ci, il éprouva les divines joies du paradis et nous tombâmes tous sur le lit complètement anéantis par les joies de la décharge, jouis-