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ses fesses blanches comme l’ivoire que je caressai et embrassai partout.

Ma femme glissant sa main sous son ventre fit rapidement recouvrer à sa pine sa première raideur. Je le priai alors de s’agenouiller afin que je puisse l’enculer.

Ses fesses excessivement blanches, unies comme du marbre, dures et froides au toucher, étaient très attrayantes pour les femmes et même pour moi.

Il était vraiment ravissant et très excitant à voir, agenouillé avec la tête baissée, la raie entre ses fesses largement ouverte, montrant son joli petit trou rose tout ridé, couvert tout autour de petits poils blonds et frisés presqu’invisibles.

Comme goût j’aime à enculer un homme bien poilu, mais je sais aussi apprécier la volupté de posséder un trou du cul aussi ravissant que celui de Carl ; il y avait aussi l’attrait de la nouveauté.

Aussitôt qu’il eut déployé devant nous toutes ces beautés, je me jetai à genoux, embrassai et langayai le délicieux et ravissant orifice, dont je devins tout à coup furieusement avide ; aussi, j’ai rarement enfilé un trou du cul vous invitant aussi délicieusement à la pédérastie.

— Oh ! pauvre garçon ! s’écria ma femme, laisse-lui d’abord loger dans moi ce joli objet (sa pine), car alors il sentira moins l’introduction de ton énorme morceau.

Je consentis immédiatement, ce qui le fit s’écrier avec délices :