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sieur, pourvu que vous me permettiez de toujours aimer madame.

— Nous verrons, nous verrons ; laisse-moi voir ta pine. Oh ! quel beau morceau, même débandé. Laisse-moi la voir quand elle est bien raide.

Ma femme s’interposa alors, disant que Carl était si bon qu’il me donnerait toutes sortes de satisfactions. Elle prit sa pine à la main, et avec son talent de peloter une pine, elle la fit raidir à éclater en une minute et me demanda si réellement elle pouvait refuser une aussi belle pine. Et, vraiment, elle était très belle.

Carl était un jeune homme très blond avec une magnifique peau de satin. Sa pine était excessivement blanche et les veines bleues se montraient, courant tout autour de la manière la plus excitante ; elle avait sept pouces et demi de long et six pouces de circonférence ; elle était très large jusqu’à la tête qui était de couleur vermillon, mais le gland était un peu moins large que la partie inférieure et formait un bourrelet comme on en voit au goulot d’une bouteille. Ma femme déclarait que cette forme lui donnait un plaisir extraordinaire dans ses deux orifices. C’était certainement une pine très attrayante, et maintenant qu’elle était bien raide, je le fis coucher sur le dos sur le lit, je la pris dans ma bouche, la suçai et la branlai jusqu’à ce que je la fis décharger dans ma bouche dans une agonie de plaisir. Je le fis alors se retourner sur le ventre, afin que je puisse admirer