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l’enculage avec les femmes et aima doublement ma femme lorsqu’il reconnut son talent extraordinaire pour ce genre de plaisir.

Elle aussi, après une hésitation apparente, en réponse à ses questions continuelles, avoua que son mari le lui mettait souvent dans le derrière dont il lui avait appris l’usage ravissant qu’on en pouvait faire. Elle lui recommanda même d’être très prudent lors de mon retour, car elle lui dit qu’elle croyait que j’avais du goût pour les hommes et si je découvrais leur liaison je serais capable de me venger de cette manière.

— Oh ! s’il voulait seulement me permettre de posséder ton corps enchanteur, il pourrait faire du mien l’usage qu’il voudrait.

C’était là le point où elle voulait l’amener depuis le commencement. Ma femme m’écrivit cela et il fut convenu que j’annoncerais mon arrivée pour un certain matin et qu’elle ferait coucher Carl avec elle la nuit qui précéderait.

j’arrivai au milieu de la nuit, entrai dans la chambre, le trouvai au lit, jouai le mari furieux, jurai que je me vengerais et que puisqu’il m’avait cocufié j’allais me venger de cet affront en m’enfonçant dans son corps.

Il fit quelque objection pour la forme, mais il dit qu’il me permettrait tout ce que je voudrais si je ne l’éloignais pas de l’adorable madame.

— Cela dépendra de la manière dont tu satisferas mes désirs.

— Oh ! faites ce que vous voudrez, cher mon-