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Elle nous engagea à revenir et à prendre avec nous les petits garçons, prétendant que nous, hommes, nous éprouverions une plus grande jouissance à nous faire enculer par les garçons pendant que nous ferions jouir nos femmes par la double fouterie.

Nous nous mîmes à rire et lui répondîmes que nous réfléchirions à son offre, mais que pour le moment nous n’en pouvions plus.

Nous n’oubliâmes pas la proposition de la vieille garce d’avoir un petit garçon pour nous foutre pendant que nous enculerions nos femmes. Ma chère femme fut d’avis que nous mettions cette idée à exécution à notre prochaine rencontre. Après que les chères créatures eurent toutes deux éprouvé la double jouissance, ma femme dit à Mme Grandvit :

— Nous sommes vraiment trop égoïstes, voilà nos deux maris bien-aimés qui nous donnent les magnifiques joies de la double jouissance et qui ne l’éprouvent pas eux-mêmes, Vous vous rappelez comment la vieille femme du numéro 60 nous a parlé des jouissances qu’occasionneraient à nos maris les pines de deux jeunes garçons pendant qu’ils nous enfileront. Pourquoi n’essayeraient-ils pas la chose sur eux-mêmes en nous donnant le spectacle ravissant de les voir dans les extases d’une double jouissance comme ils nous la font éprouver.

Nous savons combien ils sont heureux quand on leur donne le postillon, ce qui montre combien ils aimeraient la chose véritable s’ils osaient l’avouer. C’est à nous de briser les barrières de leur fausse